dimanche 15 décembre 2013

Alimentation : Les 5 ennemis du cerveau


Je reprend ici sous une forme un peu plus synthétique un article de l'excellent site http://physioqc.com, dont vous trouverez le lien tout en bas.
J'y ajoute en italique des remarques personnelles.

L'alimentation influence grandement le cerveau. Cet organe utilise 25% de l’oxygène et 50% du glucose présents dans notre sang ! Cela le rend hypersensible à ce que l'on consomme.

La nicotine s’agglutine sur les plaquettes dans le sang, ce qui prive le cerveau de sa ressource première : l’oxygène.

Les neuroleptiques (somnifères) créent une dépendance, n’apportent pas un sommeil aussi réparateur qu’un sommeil naturel. Sur une longue période, ils perturbent l’activité électrique du cerveau, et nuisent à la mémoire.

La malbouffe peut modifier l’équilibre chimique de celui-ci, ce qui entraîne des symptômes ressemblants à la ceux de la dépression et l’anxiété chronique. Leur arrêt peut provoquer des effets similaires à ceux qui caractérisent l’arrêt de la consommation de drogues dures ! On parle de syndrome d'Herxheimer, qui peut être particulièrement difficile à supporter, et surtout être mal interprété.

Les aliments transformés contiennent des additifs chimiques et de conservateurs qui peuvent affecter le fonctionnement cognitif du cerveau. L'aspartame et le glutamate sont les principaux, mais de nombreux additifs sont jugés dangereux pour la santé par des biologistes. Plusieurs sites permettent de retrouver ces informations, comme http://www.les-additifs-alimentaires.com/ ou http://www.additifs-alimentaires.net/

Les aliments frits détruisent lentement les cellules nerveuses dans le cerveau. Certaines huiles sont révélées plus dangereuses que d’autres, l’huile de tournesol étant la plus toxique.

Les produits sucrés sont nuisibles non seulement pour la silhouette, mais aussi pour le cerveau. Plusieurs effets du sucre sur les humains sont comparables à ceux de l’alcool. Une consommation excessive ralentit le cerveau en affectant les capacités de mémorisation et d’apprentissage. Cette consommation est également associée à un grand nombre de maladies chroniques, telles que le diabète, l’obésité, les pathologies cardio-vasculaires et les cancers.
J'ajoute que la "demande" de sucre par notre organisme est souvent liée à une candidose, un minuscule champignon qui se nourrit du sucre, et qui provoque de très nombreuses maladies chroniques.

L’alcool provoque une perte de précision des gestes et de l'élocution, parce qu’il se fixe sur les cellules du cerveau et qu’il les empêche de bien réagir. Il affecte le foie à long terme ainsi que la mémoire et la capacité à penser clairement. Au-delà de 25 consommations par semaine pendant plusieurs années, les risques de voir une dégénérescence du cerveau sont présents.

Les aliments très salés ont un impact sur la pression artérielle et les maladies cardiaques. Des études scientifiques révèlent aussi qu’une trop grande consommation de sodium peut affecter les mécanismes cognitifs du cerveau. 

Il faut ajouter à ces aliments ceux pour lesquels les intolérances alimentaires sont courantes : 

Les laits animaux, et en particulier le lait de vache : une excellente vidéo de Thierry Soucard à ce sujet, et l'excellent livre de Nicolas Le Berre : le lait une sacrée vacherie.



Le gluten : il pose problème à de très nombreuses personnes, intolérantes ou non à la gliadine, qui n'est qu'une de ses formes. http://www.intolerancegluten.com/intolerance_au_gluten.html

Une excellente vidéo de Marion Kaplan, nutritionniste sur le gluten et les laitages, 

Et dans une moindre mesure, le maïs, les œufs, la moutarde...

A chacun de nous de se mettre en quête des aliments qui sont bons pour notre santé, retrouver une alimentation simple, naturelle, maison, et réapprendre à écouter son corps.

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